Dans cette réponse, @RussellBorogove a discuté de la fréquence des amarrages de chaque navette spatiale avec la station spatiale Mir. J'ai résumé ces fréquences, le nombre total de missions effectuées et l'année du premier et du dernier vol ci-dessous.
Sans compter l'Enterprise et le Challenger (perdu au début de sa durée de vie prévue), il y a quatre navettes qui s'étendent sur la période pendant laquelle les missions d'amarrage de Mir ont été effectuées.
Sur les 9 amarrages, 7 ont été réalisés par l'Atlantis. J'ai fait un calcul approximatif en jetant à plusieurs reprises neuf balles dans quatre cases égales, puis j'ai calculé approximativement combien de fois le nombre maximum de balles dans une case donnée serait $ N_ {max} $. La probabilité que 7 balles sur 9 se retrouvent dans n'importe quel bac est inférieure à 0,5%. Je pense donc que la fréquence élevée de l'amarrage d'Atlantis-Mir n'a probablement pas été un simple hasard statistique, bien que ce ne soit pas impossible.
Y avait-il des raisons pour lesquelles la NASA aurait utilisé Atlantis pour une si grande fraction de tous les postes d'amarrage Shuttle-Mir?
Entreprise: 0/0 (1977-2012, modèle uniquement) Colombie: 0/28 (1981-2003, perdu) Challenger: 0/10 (1983-1986, perdu) Découverte: 1 / 34 (1984-2011) Atlantis: 7/33 (1985-2011) Endeavour: 1/25 (1992-2011) Avec 1000000 d'essais: Nmax% ---- ---- 3 37,2 4 43,2 5 15,6 6 3,5 7 0.5 8 <0.1 import numpy as npfrom collections import Countern_tries = 100000 # J'ai utilisé un million pour la question # moyen sans vergogne inefficace de faire thisbob = np.random.randint (4, size = 9 * n_tries) .reshape (9, - 1) qq = [max (Counter (chose) .values ()) pour chose dans bob.T] a, b = np.histogram (qq, bins = range (11)) pour A, B dans zip (a, b [: -1]): imprimer B, float (A) /a.sum ()